Oui, comment ? Quand les théories les plus « sérieuses » se contredisent… Quand les décisions prises sont incohérentes et elles aussi parfois contradictoires…
Sur l’internet, on trouve des lanceurs d’alerte ayant effectué un travail de recherche, dans un domaine qui leur est propre, on  trouve des paniqués qui balancent tout ce qui a excité leurs émotions (peur, combat, révolte), on trouve des gens qui vont exciter les peurs des autres pour proposer à ceux-ci « de les sauver », on y trouve même des gens qui prennent simplement un plaisir pur à angoisser aux autres (les jeux de pouvoir des humains sont spectaculaires) !

Les infos concernant cette « pandémie » existent. Tout le monde n’a pas saisi qu’on fait dire aux chiffres ce qu’on veut, cela dépend de la  façon dont on les présente.
Maintenant, vous avez compris à me lire que je ne crois plus à la pandémie catastrophique qu’on continue de nous agiter sous le nez. Certains, appelons-les « lanceurs d’alerte », se sont fait devoir de les compiler, de faire un véritable travail de recherche, de vérification des faits. Il ne s’agit pas de charlatans ou d’illuminés. Non, il y a même des gens hautement qualifiés dans leur domaine, reconnus par leurs pairs… mais pas par nos décideurs…
Il y a bien entendu beaucoup de personnes qui pourraient être très influentes… mais qui n’osent pas, sous peine de voir leur carrière brisée ou leur réputation détruite, s’exprimer haut et fort. Alors elles donnent les infos discrètement à qui pourra/pourrait les diffuser…. et elles parleront certainement quand elles seront à la retraite, sans plus rien à perdre… Mais donc trop tard…

Donc : comment se faire une opinion au-delà « des beaux discours, des grandes théories » ? En y « mettant du talent et du cœur » ! Merci Jean-Jacques. Allez ! Mon mode d’emploi perso :

Lorsque je visionne une vidéo, par exemple, je me recentre, un peu comme on ferait pour une méditation : laisser les soucis, les peurs, les tensions de côté et ouvrir l’oreille en direction du cœur. Celui-ci ne vous trompe pas : ou cela respire la vérité ou on essaie de vous asservir.

Quand vous écoutez ou lisez, d’ailleurs, un texte qui essaie de vous asservir, il y a bien souvent un schéma qui commence à exciter une peur en vous, même légère. Dans le désordre, par exemple : le nombre de morts, dit et répété, les mesures de « protection » mises en place (prouvant la dangerosité), le malheur et la tristesse engendrés par la situation (parfois réels, parfois « améliorés », comme dans un bon film), l’inconnu (les autres, l’étranger, l’impossibilité de contrôler, etc.
Puis, vient la mesure du « sauveur » : voilà ce qu’il faut faire !
Dans un premier temps, si vous ne vous êtes pas recentré dans votre cœur, la réaction à la peur qui trouve une solution est donc : « Oui. OK. Bonne idée. »
Dans un second temps, une petite voix au fond de vous, vous alerte : « T’es sûr ? » Et là, selon votre habitude et/ou votre facilité (en général ou ce jour-là) à l’écouter, soit vous la faites taire « Mais oui. Ils ont dit… », soit vous la voyez mais ne vous y intéressez pas plus que ça (et là, elle tourne et retourne dans votre tête, vous êtes fatigué, vous ne vous sentez pas « bien » et vous ne savez pas pourquoi) ou alors vous vous asseyez au calme et vous lui dites : « OK. Alors dis-moi ce qui cloche, pourquoi tu n’y adhères pas. Dis-moi ce qu’on pourrait faire d’autre… ou si même il y a quelque chose à faire… » … et là vous ne vous laissez pas embarquer dans l’asservissement.

Dans l’autre cas, on vous présente quelque chose qui parle à votre cœur, à votre âme, quelque chose dont vous sentez le fond de vérité. Mais attention, la vérité peut déranger, peut amener la peur aussi (d’être une victime impuissante, de ne plus avoir de choix, etc.) mais le texte n’est pas prévu pour ça.
Il vous rappelle à votre voix du cœur avant de vous « faire une idée ». Il est dit souvent « Ne me croyez pas, expérimentez, recherchez par vous-même, écoutez votre cœur et voyez ensuite » et en général, même dans la crainte, vous sentez qu’il faut agir. On ne sait pas comment, on ne sait pas quoi… mais il faut faire changer les choses. A vous ensuite, de calmer la peur et trouver comment agir dans la paix et l’amour (on en revient toujours à ça…)

Alors aujourd’hui, oui, je me sens impuissante.
Parce que je ne peux forcer personne à croire comme moi, forcer personne à cesser de craindre, forcer personne à se faire confiance, à faire confiance à sa voix intérieure, celle qui sait, qui est toujours en paix.
Alors la mienne, de petite voix, elle me dit « Houhou ! Reviens ! Qu’est-ce que tu aimes faire, toi ? Parler, transmettre, partager ? Vas-y ! Ce n’est que ta voix, parmi celle de tant d’autres, mais comme elle vient de loin, elle touchera ceux et celles qui en ont besoin et, comme les gouttes qui remplissent le vase, … Vas-y ! »

Alors aujourd’hui, vous qui me lisez, vous savez pourquoi.
Lisez ce texte bien assis au fond de vous, laissez les mots descendre, voyez leur effet… et agissez : fermez l’onglet d’internet… ou demandez à la vôtre, de petite voix « Et maintenant, je fais quoi, moi ? »

 

(Image par MasterTux de Pixabay)

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